Je les regarde passer, les trains des autres. Avec leurs wagons de bonheur, d’amour, de nouveaux départs, d’opportunités, de petites vies naissantes…
Ils passent. Devant moi. Et j’assiste, impassible, à ce ballet incessant.
Je les regarde passer, les trains des autres. Avec leurs wagons de bonheur, d’amour, de nouveaux départs, d’opportunités, de petites vies naissantes…
Ils passent. Devant moi. Et j’assiste, impassible, à ce ballet incessant.
Distance, parfois je t’aime et souvent je te hais.
Au début, je t’ai un peu aimé, j’avoue. Parce que tu me permettais d’avoir du « temps pour moi », de reprendre mon espace, d’apprendre à m’écouter, sans écho, sans influence. Je t’ai aimé parce que je t’ai pris comme une force, comme une nouvelle étape, comme une épreuve qui me faisait sourire, parce qu’on est « les plus forts du monde entier » et que j’allais avoir l’occasion de te le prouver.