Je les regarde passer, les trains des autres. Avec leurs wagons de bonheur, d’amour, de nouveaux départs, d’opportunités, de petites vies naissantes…
Ils passent. Devant moi. Et j’assiste, impassible, à ce ballet incessant.
Je les regarde passer, les trains des autres. Avec leurs wagons de bonheur, d’amour, de nouveaux départs, d’opportunités, de petites vies naissantes…
Ils passent. Devant moi. Et j’assiste, impassible, à ce ballet incessant.
Comme promis, voici la seconde partie de nos aventures new-yorkaises (pour ceux qui n’auraient pas lu la partie 1 rdv ici! ;)).
C’était mon anniversaire ! Un anniversaire à New-York, que rêver de mieux ! Une journée que je ne suis pas prête d’oublier ! #rêveéveillé
Howard et moi ça a commencé il y a bien longtemps. Par un concours de circonstance, et c’est souvent là que naissent les plus belles histoires d’amour…
Dessin du talentueux caennais Kinou
Il y a des textes qui nous touchent mais qu’on n’aurait pas pu écrire. Il y a des gens si passionnés qu’ils réussissent à nous convaincre. Il y a des gens dont le plume devrait être lue par le plus grand nombre et que j’encourage à écrire, écrire, parce qu’ils ont cette chance de savoir mettre des (beaux) mots sur les choses (j’en ai connu une comme ça <3). Il y a des gens qui nous touchent plus que d’autres, allez savoir pourquoi. Qui viennent faire vibrer une petite partie de nous, qui nous scotchent. Il y a des gens pour qui le sport est bien plus qu’un hobby, des gens qui me donneraient presque envie de m’y mettre (j’en connais une comme ça aussi <3). Parmi ces gens, il y a Fantine. Et ce texte. Ce serait un affront de ne pas lui donner vie ici, de ne pas partager ces mots qui m’ont ému, avec vous. « Fantine Style », à toi de jouer… ❤ 😉
DR
Vous avez une « chanson doudou » vous? De ces chansons qui vous bercent, vous apaisent, vous remettent en accord avec le cosmos, comme dirait ma soeur de la montagne? En ce moment, j’en ai une. Que j’écoute en boucle. J’ai même acheté l’album, le premier en 15 ans! #cestdire Et ce soir, en rentrant dans ma voiture, vannée, un peu maussade, un peu pas top, une mélodie est venue caresser mes oreilles, toute douce, rassurante. Alors j’ai voulu vous en parler, de cette chanson, de cette merveilleuse ode à la vie, à cette génération Y qui galère un peu, voire parfois beaucoup, qui essaie, qui… fait de son mieux.
En fait, il faudrait que tu puisses être une petite souris. Une petite souris avec des grandes oreilles. Des grandes oreilles pour m’entendre parler de toi, au quotidien… Parce que ça vaudrait sans doute mille fois plus qu’une lettre, parce que tu n’en reviendrais sûrement pas de tes (grandes) oreilles…
Distance, parfois je t’aime et souvent je te hais.
Au début, je t’ai un peu aimé, j’avoue. Parce que tu me permettais d’avoir du « temps pour moi », de reprendre mon espace, d’apprendre à m’écouter, sans écho, sans influence. Je t’ai aimé parce que je t’ai pris comme une force, comme une nouvelle étape, comme une épreuve qui me faisait sourire, parce qu’on est « les plus forts du monde entier » et que j’allais avoir l’occasion de te le prouver.
Burkina, en 2014, en reprenant l’avion direction Paris, après avoir passé quelques mois sur tes terres, je crois t’avoir laissé une partie de moi, un morceau d’amour, une reconnaissance éternelle. Parce que tu es un sacrément beau pays. Et quand je dis beau, je ne parle ni de tes paysages brûlé par le soleil harassant, ni de tes vieilles pierres que les stigmates de ton histoire ont fait disparaître, je parle de tes habitants, de tes « hommes intègres ». Ta force réside dans ton peuple. Et Ouagadougou en est la plus belle ambassadrice.
Boni – Burkina Faso / DR : Restons Futiles
Aujourd’hui, j’avais envie d’un post tout doux, d’un post qui fait du bien! Il y a tout plein de petites choses qui font du bien. Des choses toute simples, qui ne coûtent presque rien et qui mettent du baume au coeur. Mais il arrive qu’on les oublie et il est toujours bon de se les remémorer. Je vous ai concocté une petite liste, rien que pour vous… #parcequeyapasdemalàsefairedubien
En ces temps un peu gris, un peu tristes, tu as le droit de ne pas être «opé» tout de suite maintenant, de ne pas te sentir, de ne pas… te justifier. Tu as le droit de prendre du temps pour toi, de cocooner, d’hiberner même si tu veux… Tu peux, sans complexe, craquer pour tout ce qui te fait du bien, pour ce qui aura l’incroyable don de te faire sourire au réveil, au bureau, à la maison, ce qui te mettra du baume au cœur, et du cœur à l’ouvrage. T’offrir sans mesure ce qui peut rendre aujourd’hui plus doux. Doux comme un ciel de marelle. Alors oui, on est des grands. Mais les grands aussi parfois, ça a besoin d’être rassurés.
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