En fait, il faudrait que tu puisses être une petite souris. Une petite souris avec des grandes oreilles. Des grandes oreilles pour m’entendre parler de toi, au quotidien… Parce que ça vaudrait sans doute mille fois plus qu’une lettre, parce que tu n’en reviendrais sûrement pas de tes (grandes) oreilles…
Distance, parfois je t’aime et souvent je te hais.
Au début, je t’ai un peu aimé, j’avoue. Parce que tu me permettais d’avoir du « temps pour moi », de reprendre mon espace, d’apprendre à m’écouter, sans écho, sans influence. Je t’ai aimé parce que je t’ai pris comme une force, comme une nouvelle étape, comme une épreuve qui me faisait sourire, parce qu’on est « les plus forts du monde entier » et que j’allais avoir l’occasion de te le prouver.
En ces temps un peu gris, un peu tristes, tu as le droit de ne pas être «opé» tout de suite maintenant, de ne pas te sentir, de ne pas… te justifier. Tu as le droit de prendre du temps pour toi, de cocooner, d’hiberner même si tu veux… Tu peux, sans complexe, craquer pour tout ce qui te fait du bien, pour ce qui aura l’incroyable don de te faire sourire au réveil, au bureau, à la maison, ce qui te mettra du baume au cœur, et du cœur à l’ouvrage. T’offrir sans mesure ce qui peut rendre aujourd’hui plus doux. Doux comme un ciel de marelle. Alors oui, on est des grands. Mais les grands aussi parfois, ça a besoin d’être rassurés.
Source Instagram
En checkant l’actu aujourd’hui, je suis tombée sur une star chère à mon coeur, qui pose sur Instagram, guérie et rayonnante : Pamela Anderson. Avouez qu’avant même de vous poser la question de savoir de quoi elle était guérie, vous vous êtes demandé pour quelles bonnes raisons je pouvais bien la porter dans mon coeur?! Je vous explique…
DR
J’ai toujours admiré les journalistes. Profondément. J’ai toujours dis que je n’en ferai jamais (« mais alors jamais! ») mon métier. Tournant autour du pot, passant d’attachée de presse à blogueuse. Pour être près d’eux quand même, pas trop éloignée…
©PerrineBinet
John, je t’aime. Oh si si, John!
Toi tu ne me reconnais sans doute pas dans cette foule opaque et déchaînée, mais chaque année, je suis là, à t’aimer chaque fois un peu plus. Et je frissonne quand tu passes, furtivement, devant les fenêtres de ton grand château, à la nuit tombée.
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