Je les regarde passer, les trains des autres. Avec leurs wagons de bonheur, d’amour, de nouveaux départs, d’opportunités, de petites vies naissantes…
Ils passent. Devant moi. Et j’assiste, impassible, à ce ballet incessant.
Je les regarde passer, les trains des autres. Avec leurs wagons de bonheur, d’amour, de nouveaux départs, d’opportunités, de petites vies naissantes…
Ils passent. Devant moi. Et j’assiste, impassible, à ce ballet incessant.
Demain j’aurai 30 ans, et je suis tétanisée. Demain, la barre fatidique sera passée… je vous ai tellement charrié, les copines, les soeurs, avec l’âge, la trentaine, cette barrière mentale, imaginaire, tenace, dans ma tête, entre les « jeunes » et les « vieux ».
Le Mont et moi, c’est une longue histoire d’amour… Il a fait plusieurs apparitions dans ma vie, à différentes périodes, m’apportant à chaque fois quelque chose de nouveau, me surprenant parfois, me soutenant toujours. Le Mont, c’est un peu mon Disneyland à moi… Mon petit coin de paradis. La chance que j’ai, que nous avons, c’est que le Mont n’est jamais tout à fait le même, qu’il a la coquetterie de changer d’apparence, de se réinventer, en fonction de la saison, de la lumière, de l’angle avec lequel on l’aborde, mais surtout, surtout, en fonction de nous-même, de ce qui nous anime ce jour là, de ce qu’on vient y chercher.
Aujourd’hui, je vous propose de découvrir mes 10 immanquables du Mont, une liste non exhaustive des petits et grands plaisirs qu’offre le Mont!
Au travers de mes nombreuses pérégrinations sur la toile, je te croise de plus en plus souvent, toi, le fâché. Et je prends toujours soin de te lire, d’entendre tes arguments, de tenter de te comprendre. Et de comprendre pourquoi demain, quand l’heure sera aux urnes, tu voteras Marine, sans même l’ombre d’un complexe, sûr de toi, sûr de ton choix.
Parfois je rentre le cœur serré, d’avoir entendu Imat me dire que oui, il a laissé sa femme et son fils là-bas, qu’il n’avait pas le choix mais que demain, oui demain, il les fera venir…
Parfois, j’ai la colère muette et les mots qui manquent.
Parfois j’ai peur, j’avoue j’ai peur, de ce chômage plombant, de ce que demain nous apportera.
HEMA, tu as débarqué dans ma vie un peu par hasard… J’étais à Paris, il faisait froid, j’avais des talons beaucoup trop hauts, je sortais d’un entretien mi-figue mi-raisin et moi j’étais mi-lasse mi-molette. J’errais dans les rues, tentant l’habituel antidote shopping, recherchant quelque chose de doux, de cool, qui me remettrait un peu de baume au cœur et qui me rendrait si légère que j’en oublierais mes talons, beaucoup trop beaux, beaucoup trop hauts.
Carnet de blogging Hema
Comme promis, voici la seconde partie de nos aventures new-yorkaises (pour ceux qui n’auraient pas lu la partie 1 rdv ici! ;)).
C’était mon anniversaire ! Un anniversaire à New-York, que rêver de mieux ! Une journée que je ne suis pas prête d’oublier ! #rêveéveillé
Avant-propos : Vous le savez si vous me suivez depuis un moment, mais comme on est jamais trop prudent : il va de soi que ce post n’est en aucun cas sponsorisé de quelque manière que ce soit ! N’ayez donc aucune crainte, les conseils qu’il contient sont de VRAIS conseils, 100% vécu, 100% sincères. 😉
New-York, c’est parti d’un délire à table en famille ! On discutait de l’anniversaire de notre mère en août prochain, on la tannait pour faire une fête… « Oh nan, pas une fête ! ». Ok, mais alors on fait un truc un peu fou ! C’est quoi ton rêve maman ? « New-York ». C’était fou. Complétement fou. Mais les folies sont les seules choses qu’on ne regrette jamais disait Oscar Wilde… ❤
Howard et moi ça a commencé il y a bien longtemps. Par un concours de circonstance, et c’est souvent là que naissent les plus belles histoires d’amour…
Dessin du talentueux caennais Kinou
« T’as craqué là Puce ?! »… Ça a commencé comme ça, ou plutôt, ça a fini comme ça. Des jours, des semaines, que je me prends la tête, que j’échange sur le sujet, que j’essaie de trouver un positionnement clair. Clair, net et précis. Pour que mon cerveau, Restons Futiles et moi, on arrête de se questionner, qu’on se détende, qu’on soit raccord. L’objet du délit ? Les propositions commerciales, les cadeaux, les concours, les chaînes de blogs, les invitations et ce que j’en fais moi, Restons Futiles. Et c’est un vrai sujet. Qui mérite réflexion et qui mérite un post même !
Gainsbourg et son célèbre billet de 500F